E-Commerce News: Business : Yahoo Raises Profile with Hollywood Push
Réaction sur un article intéressant de E-commerce Times,
The giant Internet portal isn’t talking about its plans for content. But analysts suggest a profound shift may be at work, with Yahoo using its enormous reach to force Hollywood studios, among other video creators, to produce programming with the Internet in mind.
Intéressant car révélateur de l’inversion qui est train de se produire. La force d’un “éditeur” Online et pas des moindre puisque Yahoo Himself, permet de faire bouger des monolythes. L’Internet est devenu un big media à part entière et les mutations sont en train d’impacter fortement tous les secteurs et ce patiemment mais sûrement.
Même si l’exemple est caricatural, il nous permet d’esquisser ce qui est légion dans tous les secteurs, même à moindre échelle. Ainsi, les sites Internet marchands click & mortar sont de plus en plus pris au sérieux en Interne et par les fabricants de leur secteur. Ils sont souvent dans le top 10 mini des magasins nationaux en terme de CA, apportent une visibilité considérable à leur enseigne, travaillent l’image différemment, jouent avec le rich media, permettent des campagnes de Buzz, de fid, etc… Que du bon.
La place d’internet dans l’entreprise change d’orbite pour intégrer le coeur du système de distribution et de communication. Sa position devient de moins en moins satelllitaire pour des raisons techniques et marketing, il a démontré sa force par les faits et chiffres, par A+B et non pas par le paraître et les mots. Un Internet mature dans lequel il fait bon innover.
Yahoo can offer up a worldwide audience of more than 300 million — a number that some analysts say could reach 1 billion by the end of the decade.
“Those are numbers that are sufficient to make the likes of Rupert Murdoch salivate and turn green with envy,” said David Garrity, an Internet and media analyst with Caris & Co., referring to the man whose News Corp. owns the Fox network and other media outlets.
Avec des chiffres pareils, qui peut douter ? Pas un financier…
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